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D'une rare sensibilité.

Ce drame teinté de douce mélancolie donne ainsi matière à une réflexion passionante sur la mémoire et la filitation.

Une odyssée tout en nuances. Jesse Eisenberg est parfait, comme toujours.

Un petit film séduisant.

Le nouveau film du Norvégian Joachim Trier aligne les séquences intenses, avec à peu près à chaque fois une bonne idée de mise en scène.

Le premier long métrage de Joachim Trier en langue anglaise prouve son talent.

Elégant, raffiné et intriguant… Les prestations sont de bout en bout excellentes.

Tour à tour habile, mélancolique et de bonne humeur.

Un des meilleurs rôles de Jesse Eisenberg.

Il n’y a pas la moindre scène qui tomberait à plat ou qui sonnerait faux.

Une famille d’hommes hantée par la disparition de la mère. Un portrait de groupe d’une grande finesse.

Impressionnant par sa subtilité.

Joachim Trier confirme qu'il sait regarder ses acteurs avec un mélange rare d'empathie et d'acuité.(...) Isabelle Huppert se laisse voler une fragilité et une inquiétude qui donnent, par instants, l'impression de découvrir une autre femme. C'est tout le sujet du film.

Le film brille par la qualité de sa construction non linéaire, à la fois savante et fluide, impressionnant par sa capacité à enchâsser les différentes parties du récit.

Le réalisateur norvégien préfère la subtilité aux effusions sentimentales et aux crises d'hystérie traditionnellement associées à ce genre.

Un des plus grands films de l'année.

Un mélange rare d'empathie et d'acuité.

Une œuvre magnifiquement déroutante.