Abus de faiblesse

Isabelle Huppert porte ce film aussi trouble que troublant. -- LE TEMPS Le film transforme en fiction flamboyante un fait-divers sordide. -- 24HEURES Une mise en abîme vertigineuse qui interroge l’être même du cinéma. -- LE NOUVELLISTE Catherine Breillat utilise magistralement la fiction pour narrer un épisode tragique de sa vie. -- CLAP.CH Farce noire qui violente l’idéalisme, mais force l’admiration -- LE MONDE Breillat donne la clé de son cinéma. La beauté de ses personnages tient toujours à ce vertige qui s'empare d'eux pour leur permettre de se contempler sombrer dans l'abîme. -- POSITIF Malgré la froideur du film, il y a quelque chose d’émouvant dans la description de cette femme seule qui lutte passivement et se cogne inlassablement contre le même mur invisible sans jamais trouver d’issue. -- CAHIERS DU CINÉMA Une extraordinaire scène finale, plan séquence maintenu dans la durée où le visage de l’actrice s’altère, en temps réel, des marques du désespoir, fait décoller "Abus de faiblesse" vers un inattendu sommet à la Dreyer. -- LIBÉRATION Petite boule d'énergie mais aussi d'inconséquence, Isabelle Huppert est remarquable face à un Kool Shen bloc de virilité satisfaite. -- LE JOURNAL DU DIMANCHE Isabelle Huppert est une fois de plus époustouflante dans un de ces rôles torturés où elle excelle. -- CULTUREBOX