Simple comme Sylvain

Monia Chokri a de l’humour et le chic pour brosser une comédie romantique où les deux héros vivent dans des mondes très éloignés et que pourtant on se plairait à voir finir ensemble.

L’une des belles surprises du moment.

Cela lui permet de nous amuser comme de nous embarquer dans une comédie dramatique où les classes sociales s’entrechoquent et où le désir s’oppose au bonheur attendu dans une société normative.

Hybride de comédie roman tique tendance mélo et de film social au vitriol, Simple comme Sylvain propose une satire assez réussie de notre époque.

D’une très grande drôlerie, Simple comme Sylvain renferme toutefois une musique plus amère mais aussi plus profonde et mélancolique sur les amours passées et les fantômes d’une vie.

Comédie jubilatoire et néanmoins profonde sur la rencontre et la passion amoureuse de deux être d’extraction sociale opposée.

Une réussite totale

Cette comédie romantique et sociale québécoise touche et fait mouche.

Une réussite totale

Avec son troisième long métrage, Monia Chokri signe un grand film sur la crise de la quarantaine : une "rom-com" endiablée, un conte moral et un mélo déchirant.

Cette comédie tendre est un pur plaisir.

Un humour ravageur parcourt cette love story décomplexée, où la maladie n'a pas besoin d'intervenir. Rythme et justesse d'observation sont les deux mamelles de cette comédie où les dents grincent.

Une grande réussite qui offre un vrai de moment de détente intelligente.

Une grande maîtrise formelle et une subtilité de propos assez rare sur l'amour, le désir, la vie conjugale...

Aussi drôle que son génial et insolent premier film, La Femme de mon frère, dans lequel la réalisatrice se mettait elle-même en scène en trentenaire névrosée. Chez Monia Chokri, les névroses ont toujours du bon.

D’une remarquable maîtrise formelle à tous les niveaux, il faut le voir absolument.

Un délice de kitsch désu et aux couleurs automonales.

Un film kitsch et touchant

La Québécois Monia Chokri réussit à tisser un film malin qui interroge nos "bulles de filtre" quotidiennes.

Drôle , très drôle.