L'attachement

« L'attachement » est un drame sensible et bouleversant sur le deuil, la vie qui continue malgré tout et la famille que l'on se choisit.

Un film réparateur qui, dans une société fracturée, va droit au cœur !

Dans « L’attachement », on assiste à un brassage des certitudes que certains fixent sur la famille, l’éducation ou la manière d’élever des gosses. En un mot, c’est lumineux, explosif, tendre et émouvant.

Carine Tardieu parvient joliment à distiller tout au long du récit une large palette d’émotions parfois contradictoires, comme dans la vie, aurait-on envie de dire.

Un drame doux-amer qui mérite qu’on s’y attache.

Un film qui va droit au cœur.

Un film attachant et extrêmement bien ficelé.

Difficile à définir, intangible, insaisissable, la délicatesse au cinéma est rare et précieuse. Elle est au cœur de "L'Attachement", et en fait le sel.

Une chronique de la reconstruction affective d’une délicatesse inouïe.

Absolument bouleversant et d'une maîtrise d'écriture et de prestation, c'est un objet d'une beauté que l'on espérait pas et qui nous a fait beaucoup de bien.

Avec "L'Attachement", Carine Tardieu signe incontestablement son meilleur film à ce jour, faisant preuve d'une réelle maîtrise et d'une capacité à faire naître l'émotion sans jamais sombrer dans la mièvrerie.

Belle histoire mise en scène au cordeau et très bien interprétée par une petite troupe chorale, « L’Attachement » vaut en particulier pour la composition d’une grande justesse de Valeria Bruni Tedeschi, à contre-emploi en vieille fille un peu revêche qui va s’ouvrir à la vie au contact d’un enfant.

Un bonheur : un film sans évidence, sans leçon, sans idéologie.